Comment Yoann Stuck optimise son mental avec Cyril Blanchard


Comment Yoann Stuck optimise son mental avec Cyril Blanchard...

Quand Yoann prend contact avec Cyril en tant que préparateur mental, c'est pour optimiser son énergie et devenir plus performant.

Partage de la méthode des coachs BE:EP pour identifier et maîtriser son niveau de stress

Identifier le bon stress

Selon Cyril « il faut différencier le bon stress (eustress) du mauvais. Le stress en compétition, c'est une bonne chose, ça aide à avoir tout le temps ses sens en éveil. Il faut qu'on soit prêt, que les capteurs qu'on a dans le corps soient en mode ON »

Dans ce cas, l’expérience est positive, il s’agit plus d’un challenge, certes difficile mais qui participe, à terme, à un sentiment de satisfaction et de bien-être. Cela permet d'accéder à l'état mental de flow : une concentration maximale, une absorption intense. Notre corps sécrète des hormones, dont de l'adrénaline, qui augmente la fréquence cardiaque, la pression artérielle, le taux de glucose et redistribue le sang vers les muscles et le cerveau.

Stresser, c'est normal : si vous avez les mains moites et le coeur qui bat avant une compétition, vous vous préparez à donner le meilleur de vous-même.

Répéter, répéter, répéter ... et débriefer

Yoann compte sur les automatismes répétés à maintes reprises à l'entrainement : « En course, c'est l'entraînement qui me permet de réagir. Je fais appel à ce que j'ai appris par de multiples répétitions avec le coach. Quand on sait à quoi s'attendre, on laisse moins de chance au stress de nous freiner ou de nous paralyser ».  Une des meilleures façons d'éviter les palpitations, les contractions, les sudations… c'est donc de se préparer. "La préparation prime l'action" comme aime le répéter Cyril. Il ne faut surtout pas négliger la phase de débriefing, un exercice à faire après chaque sollicitations importantes. Les informations qu’on récolte lors des “retours d’expérience” et qu'on analyse sont précieuses. Elles permettent d'anticiper les prochaines épreuves et de faire en sorte qu'elles se passent mieux que les précédentes ».

Débriefer, c'est progresser !  

Penser stratégie

Penser en stratège permet d'activer son hémisphère gauche et de rationaliser la situation. On évite de se laisser submerger par les émotions, activées par une paralysie de l'hémisphère droit. Il est important de muscler son élasticité cérébrale comme on muscle son corps.

"Dans toutes situations, le premier réflexe, c'est de faire preuve d'objectivité et d'analyse : enjeu ? Pourquoi ? Avec qui ? Contre qui ? Comment ? En fonction des réponses apportées à ces questions, on détermine un objectif" détaille Cyril.

Si l'enjeu est élevé, pour ne pas céder à la panique ou être paralysé, mieux vaut diviser le problème en sous-problèmes : dans quel environnement votre objectif s'inscrit-il ? Dépend-il d'autres éléments, sous quels délais ? Quelle est la nature du rapport de force ? Évaluer ses moyens et déduire le moment de l'action et sa durée.  

Faire des pauses

Le stress, mauvais ou bon, à long terme n'est pas sain : troubles du sommeil, addictions, maladies cardiovasculaires, dépression, burn-out… C'est pourquoi, à l'approche d'une grande compétition, Yoann se met en mode "affûtage" : baisse de la charge d'entraînement et augmentation des périodes de ressourcement. Il consacre de plus en plus de temps à sa préparation mentale : exercices de visualisation, méditations, exercices de relaxation corporelle...

On fait de la projection mentale : on s'imagine en pleine compétition et on décompose chaque partie de l'épreuve en ressentant chaque partie de son corps en pleine puissance, aisance et confort...

Ces techniques d'optimisation du potentiel permettent aussi d'améliorer la qualité du sommeil, la mémorisation, la concentration, la confiance en soi. Chez BE:EP, nous pratiquons la méditation, la projection mentale, l'hypnose, la sophrologie… Lorsqu'on se relaxe, on stimule la sécrétion des endorphines, les fameuses hormones du bonheur. Euphoriques, antidouleurs et anxiolytiques, elles réduisent les niveaux d'adrénaline, et donc le stress. 

L’esprit d’équipe 

La solidarité au sein de notre collectif est une force. Quand on connaît son environnement humain, les compétences et les failles de chacun, on sait sur qui s'appuyer. La cohésion et le partage sont essentiels. Comme le stigmatise Cyril, le relationnel est l'un des piliers de notre bien-être. Le fait d'avoir des relations bienveillantes est un bouclier contre le stress. 

Alors, êtes vous prêt à vous entrainer pour maitriser votre stress et développer de nouveaux spectres de performance illimités ?

 


Articles similaires

Derniers articles

Courir aux sensations

Parler en public, un véritable métier !

La conférence pour booster sa confiance

Catégories

Réalisation & référencement Simplébo

Connexion